Le jardin de Françoise Niel Aubin, ou comment jouer à la terre.

 Oui, j'imagine bien que dans la presse des jardins, on appelle ça, "un marronnier", sauf que par définition, des marronniers, il n'y a que ça dans ce type de presse, puisque par définition, suivant le calendrier des saisons, il est bien difficile d'éviter "les redites"...

  Qu'à celà ne tienne, on peut aussi s'en amuser, en parler, en discuter, dire des bêtises, aussi, ou en sourire, ce qui n'exclut pas cependant, de dire à cette occasion, tout de même des choses parfaitement pertinentes.

  Pour commencer, je rappelle que le marronnier donne des marrons, et que son nom latin, est "aesculus".... Que son fruits est toxique, et qu'il n'y a pas d'enfant, qui à l'automne ne se soit amusé à observer ce fruit, si merveilleux à l'oeil, par la beauté de sa peau, qui n'a rien à envier au bois les plus précieux,  je dirai même, à la loupe de certains bois, celle de l'orme, par exemple, excepté qu'ils sont ronds.

  Ils trainent toujours, dans les poches des gamins, à moins que ce soit dans certaines poches d'adultes, pour soigner je ne sais plus trop quoi.....NON  ! Ne comptez pas sur moi pour approfonfdir ce sujet, ça dépasse largement mes compétances.

  Je sais juste, que d'avoir quelques marrons dans la poche, donne le sentiment, d'avoir de quoi jouer entre les doigts, comme on le ferait avec quelques billes.

 Attention, je viens de recevoir un message d'une pigeon voyageur, qui m'a balancé une boulette de papier une fois developpé, parce que le pigeon en question, n'a pas encore la 5G sur son portable !

 Il me dit ceci:

 "Pour ceux qui aiment faire germer des marrons dans un pot, occupation automnale s'il en est, tenir compte du fait que ça doit ête fait dans un pot, individuellement, et qu'il est bien difficile ensuite, de trouver l'heureux propriétaire de jardin, qui soit suffisemment grand, pour pouvoir l'accuillir...

   Les pauvres jeunes marronniers, ensuite, sont bien tristes de mourir si jeunes, par faute de ne pas avoir réussi à trouver qui que ce soit, pour les adopter.

   Et oui, un maronnier, ça devient gigantesque, et personne jamais, n'en tient compte, alors que ça devrait être prévu, en amont, au moment où vous le plantez jeune.

   Quand aux marrons glacés que vous offrez ou que vous mangez au moment de Noël, c'est de chataigne  dont il est question, en latin, "castanéa",  et ça n'est que la similitude du fruit par son appparence je suppose, qui en serait à l'origine, alors que les deux n'appartiennent même pas à la même famille botanique d'ailleurs, susceptibles qu'ils seraient, de s'envoyer des prunes, ou des chataignes, jusu'à preuve du contraire, ils ne sont ni frères et soeurs, ni oncle ou tantes, ni neveux ou nièces,  et qu'en somme, ils ont bien peu de chance de taper ensembles, dans la boite de marrons glacés, le soir du réveillon....

   Sinon, pour info, on peut trouver dans le commerce, de la farine de chataigne, pour la confiserie, que vous pouvez couper, avec une autre farine pour que la pâte ou le pain puisse lever, la chataigne, ne contenant pas de gluten, il me semble, qui est d'un goût délicieux.

  Le marronier d'Inde, lui, l'aesculus, est excellent pour soigner la circulation veineuse.

  Mais revenons en à nos fruitiers, en ce début de printemps, qui nous joue une micro glaciation, au désespoir des producteurs de fuits, luttent du mieux qu'ils le peuvent.

 Planter des fruitiers, dans un jardin,  demande un minimum de place, et je suis assez dubitative, quand aux arbres qu'on dit nains,  alors que les arguments de vente vous jurent qu'il resteront de dimanssion acceptables.

 Je n'en ai jamais vu que dans les catalogues, pour tout dire.

 Je ne m'aventurerai pas sur le choix des variétés.

 Je vous renvoie, pour celà, vers la presse specialisée, qui vous expliquera.

 Je vous recommande par contre de vous adresser plutôt, à des producteurs locaux, qui font du très bon travail, et dont les portes greffe, sont adaptés à votre terroir, selon votre région et les caractéristiques de votre climat, et de votre sol.

 Depuis des centaines d'années, d'autre part, des producteurs regionaux, ont oeuvré, précisément, pour mettre au point des variétés qui y sont adaptées, et dont, helas, un fort pourcentage, a littéralement disparu, par l'invasion de variétés, à plus haut rendement, au détriment de la qualité. 

 On constate en effet, qu'ici comme ailleurs, dans le secteur agricole, la course au rendement, a fait  son oeuvre de sappe....

 Sauf que de changer de variété de blé, ou d'avoine, peut se faire, en un an,  pour peu que l'agriculteur, ou le céréaliser, en ait l'ambition, là, où précisément, une pomme comme la "claque pepin", ou la "Bénédictin", une fois qu'on a donné, un coup de tronçonneuse au pied, pour les remplacer,  (alors, qu'en fuitier je ne précise, on ne doit jamais replanter sur un mort), le changement de cap, ne peut alors se faire que sur quelques années.

 Je veux dire, qu'en cas de creation d'un verger, entre le moment de la plantation et le moment où la recolte sera rentable, en quantité, ça demande du temps.

 Mais revenons en au plancher des vaches,  et au jardin amateur....

  Les trois grosses erreurs, à éviter,  sont les suivantes:

 - Le trou de plantation, préparé de façon insuffisante, il est important de défoncerle sol, sur un volume de terre qui soit au moins égal, à 5 ou 6 fois le volume de la motte.

 Ca dépend donc de l'âge du sujet que vous plantez....

 Seconde erreur,  extrêmement courante....

 Plus vous avez mis du soin à creuser votre trou,  et plus le dome, en profondeur, doit être tassé, pour que l'arbre, dans son ensemble, sous l'effet de l'arrsage, la premiere année, ne descende pas trop, comparativement au niveau du sol.

 Jamais le point de greffe du bas, ne doit être enterré, sous peine de voir l'arbre malingre et improductif.

 Ors, quand vous l'installez,  vous devez poser votre outil à l'horizontal, afin de déterminer à quelle hauteur vous le plantez....

 Il faut donc prévoir environ 10cm, au dessus de l'horizontal du sol de telle sorte, que sous l'effet de la pluie, à plus forte raison, si vous couvrez le sol, d' un tapis végétal, pour limiter les arrosages, votre arbre au bout de quelques années, ne se retrouve pas, avec la greffe du bas enfouie.

 Car peu le savent, mais bien souvent, les fruitiers sont greffés en deux endroits.

 La greffe du bas, qui donne le tronc, est un espèce qui est réputée, pour former un tronc bien droit et esthétique, et celle qui est en tête, ensuite correspond à la variété.

 Quand vous achetez vos arbres, donc, vous devez poser la question, s'il n'y a qu'une greffe en tête, le problème ne se pose pas, elle ne se pose que dans l'hypothèse, où il existe une greffe en bas, juste au dessus des racines...

  Je peux  donner le sentiment d'ergoter sur des détails, mais qui n'en sont pas, parce qu'il n'y a pas plus décevant, que d'investir dans des fruitiers, devoir attendre des années, pour les voir enfin produitre, et réaliser qu'ils ne sont que malades, et improductifs, au seul pretexte que ce point de greffe inférieur, n'ait jamais été abordé, et que jamais, personne n'aborde le sujet.

 Enfin, la derniere erreur, généralement, elle tient, beaucoup plus à la plantation d'arbres, en général, elle est due au fait, qu'on sous estime, toujours, la place, qu'il va prendre, au bout de 10 ou 20 ans, et sur 10 arbres vendus, helas, le plus souvent, depuis que le jardinage, est un losir, 8 sur 10 environ, finissent, leur vie, au bout de 15 ans, dans la forced e l'age, au seul pretexte, que leur  volume, adulte, ait été tres largement, sous estimé.

 Ce qui, reconnaissez le, est bien dommage !

Association Pomologique de Haute-Normandie

Synonymes : Oléose, belle américaine,Rosa. Lire la suite Pomme à cidre de deuxième, troisième saison - Catégorie douce - Brassage deuxième quinzaine de novembre Pas de synonymes connus. Lire la suite Synonyme : aucun synonyme connu. Origine : obtenue en 1885 par M. Arsène Sannier de Rouen ; mise en commerce en 1893.

http://www.aphn.net

Fouillant dans les malles, d'une profondeur habissale de mo ordinateur, je retombe sur un article que j'avais écrit l'an dernier, environ à la même époque.

 Considerant, le "bis repétitas", de notre situation, je me dis que pour moi aussi, mon article n'est pas superflu.

 Bonsoir à toutes et à tous, selon la formule consacrée.

 J'ai un peu de mal, à bien maitriser, techniquement, ma chaine youtube, mais promis, je vais faire des efforts.

 Ici, ce soir, nous avons de l'orage, et les pluies qui s'abattent depuis plusieurs jours parviennent à éloigner la crainte d'une nouvelle sécheresse, comme ça se produit hélas depuis des années chaque printemps.

 J'ai appris dernièrement, que sous l'effet du confinement, la tendance à jardiner non pas uniquement pour le potager uniquement, mais au delà aussi côté fleurs, les jardiniers amateurs qu'ils soient propriétaires de leur parcelle, ou qu'ils puissent jardiner dans un autre contexte, s'était accentué encore d'avantage.

 C'est une très bonne nouvelle, parce que ça signifie, philosophiquement j'entends, que la vision du jardinage, alors qui serait la plus défendue, serait en faveur véritablement de la biodiversité....

 Et ça, ça n'est pas une bonne nouvelle, c'est une excellente nouvelle.

 Car pour moi, jardiner, c'est avant tout jouer à la terre, et semer des graines, une aventure qui n'a pas son pareil...

   Pour peu, que vous soyez pote avec quelqu'un qui a déjà un jardin, ou en vous promenant dans la rue interpellant un jardinier qui y travaille, vous repartez avec quelques graines, ou même des éclats de souche qu'il vous aura détachés avec son outil, ou un vieux couteau de cuisine, et voilà, le jardinage remis, à la place, qu’il ne devrait jamais avoir perdu, un excellent prétexte, à nouer des relations humaines, et d’amitié...

 Mais ne vous servez jamais sans y être autorisé, pour la simple raison que ça ne se fait pas.

 Il n'est pas superflu de préciser que ces cadeaux d'un jardinier à un autre, ont un prix qu'aucune monnaie de saurait égaler, puisque ce qu'il sème en vous les donnant, est infiniment plus subtile que d'acheter des fleurs.

 Mais j'entends déja, la confrérie des horticulteurs qui vont râler, alors je vous laisse, j'ai la fête à la grenouille dehors, pour accompagner mon coucher au travers de la fenêtre de la chambre !

Bon, autant dire qu'en ces lieux, je n'ai aucunement envie, d'être sérieuse.

 On attend tellement de moi, que je le sois en d'autres circonstances, qu'ici, ça sera récréation à tous les étages, et il n'est pas question ici.....D'évoquer mon âge.

 Et en plus, je rime !

 Alors, pourquoi, donc écrire, encore, en un lieu différent, se diront certains.

 Moi même, il y a quelques jours, quand Thomas me le proposait, je lui disais, "mais enfin, pourquoi ?"....

  Puis j'ai réfléchi, et je me suis dit, que ne pouvant prétendre être éditée sur ce sujet, rapidement, alors que j'ai un livre sur le sujet, pas encore terminé, considérant d'autre part, que j'ai d'autres ouvrages, sur d'autres sujets, qui attendent eux aussi d'être édités, et qu'enfin, dans ma vie personnelle, ayant un jardin, MAIS etant désireuse de partir d'où je suis, comment vous dire ?

 J'ai juste le sentiment, d'avoir carrément, le cul entre deux chaises, ou plutot, un cul, à 36 FESSES, qui me dit, que le moment n'est pas venu, pour l'instant, d'être éditée sur ce sujet...

 Allais je pour autant, fermer ma g... sur le sujet ?

 Que nenni, il me faut bien un échapatoire, qui puisse croiser la récréation, avec juste une imperceptible envie de partager ludiquement, ce qui se passe au jardin...

  Si vous cherchez en matière de jardin, un lieu où lire serieusement, des choses sérieuses et pertinantes, je pourrai vous conseiller de passer votre chemin..Certes, mais ça ne serait pas très raisonnable....

 Je dirai plus simplement, que pour agrementer le sérieux, quelques cabrioles,  sur tous sujets confondus, surtout si l'inspiration me vient, pimentera l'ensemble, non par loyauté envers mon nez de clown, mais plutôt, comme une necessité impérieuse, de ne pas être, trop serieuse, par loyauté envers mon humble personne, ce qui est différent.

 Quoi qu'il en soit, pour aujourd'hui,  je realise, que je n'ai pas encore changé la lière des enfants, ni peigné la giraffe, je dois d'autre part, couper, un à un, chaque brin, de gazon, avec mes ciseaux à couture, et qu'ils annoncent du froid.... Alors, à très vite.